L’île d’Elbe sauvage et préservée, super équipée et à la pointe de la technologie, tout est à découvrir. Les possibilités de vivre la mer sont multiples sur plus de 147 kilomètres de côtes, chacune avec sa morphologie et son caractère : longues plages de sable doré, petites criques de galets, plages de sable noir, d’autres de galets les plus blancs, imposantes falaises de granit et de basalte. Impossible de ne pas trouver celle qui fera battre votre cœur parmi les dizaines de plages, criques et baies. Nous en avons examiné une cinquantaine sur un total approximatif de 150 (certains estiment même le nombre total à 200 !): seuls les petits, ou ceux qui sont presque impossibles à atteindre autrement que par la mer, manquent à l’appel.
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La plage doit son nom à l’îlot situé à quelques mètres du rivage, lui-même nommé d’après la sœur de Napoléon Bonaparte qui, selon une légende (probablement créée par un entrepreneur touristique dans les années 1960), aimait prendre le soleil sur ces rochers.
Destinée à être une résidence d’été, Napoléon achète la propriété à la famille Manganaro en 1814, avec l’intention de la transformer en une résidence confortable et raffinée qui n’aurait rien à envier aux demeures parisiennes.
Construit en 1724 par le grand-duc Gaston de Médicis, il fut la résidence urbaine de Napoléon lors de son premier séjour sur l’île d’Elbe.
Il a été construit en signe de reconnaissance en 1606 par José Pons y León des Ducs d’Arcos, gouverneur espagnol de Naples et premier gouverneur de la place de Longone (qui fait partie de l’État des garnisons). En septembre 1814, Napoléon, accompagné de Pons et de Bertrand, voulut visiter le sanctuaire.
Si l’économie de l’île repose aujourd’hui sur le tourisme, il n’en reste pas moins que les habitants de San Piero et de la côte ouest (Pomonte) ont vécu et continuent de vivre de leur granit et de leur marbre.
Visite du port où Maria Walewska a débarqué et de la tour de guet armée visitée par Napoléon lui-même en 1814.