Le poisson doit être cuit dans une casserole en terre cuite. Emincer l'oignon et le faire revenir dans un verre d'huile.
Dès qu'il commence à brunir, ajouter deux ou trois piments verts, quelques feuilles de basilic hachées et un peu de persil, du sel, du poivre et 500 g de tomates pelées et réduites en purée, plus du sel. Laisser cuire les tomates et ajouter le poisson coupé en morceaux, en ajoutant un autre verre d'huile.
Ajouter ensuite les olives noires et les pignons de pin selon le goût, ainsi que quelques câpres. Baisser le feu et laisser cuire doucement, en ajoutant un peu d'eau chaude de temps en temps si nécessaire.
Lorsque le stockfish est cuit, le saupoudrer de parmesan râpé.
- 1,2 kg de poisson de fond
- Un oignon
- 500 g de tomates
- Deux feuilles de basilic
- Piment vert selon le goût
- Olives noires selon le goût
- Pinoli selon le goût
- Câpres selon le goût
- 4 cuillères à soupe d'huile EVO
- 80 g de parmesan
- Sel selon le goût
- Poivre noir selon le goût
En cliquant sur « S’abonner », vous acceptez de recevoir des lettres d’information dans les conditions définies dans la Politique de confidentialité
La plage doit son nom à l’îlot situé à quelques mètres du rivage, lui-même nommé d’après la sœur de Napoléon Bonaparte qui, selon une légende (probablement créée par un entrepreneur touristique dans les années 1960), aimait prendre le soleil sur ces rochers.
Destinée à être une résidence d’été, Napoléon achète la propriété à la famille Manganaro en 1814, avec l’intention de la transformer en une résidence confortable et raffinée qui n’aurait rien à envier aux demeures parisiennes.
Construit en 1724 par le grand-duc Gaston de Médicis, il fut la résidence urbaine de Napoléon lors de son premier séjour sur l’île d’Elbe.
Il a été construit en signe de reconnaissance en 1606 par José Pons y León des Ducs d’Arcos, gouverneur espagnol de Naples et premier gouverneur de la place de Longone (qui fait partie de l’État des garnisons). En septembre 1814, Napoléon, accompagné de Pons et de Bertrand, voulut visiter le sanctuaire.
Si l’économie de l’île repose aujourd’hui sur le tourisme, il n’en reste pas moins que les habitants de San Piero et de la côte ouest (Pomonte) ont vécu et continuent de vivre de leur granit et de leur marbre.
Visite du port où Maria Walewska a débarqué et de la tour de guet armée visitée par Napoléon lui-même en 1814.